En adaptant le célèbre mythe de Dracula, Yngvild Aspelis’inspirelibrementdel’histoiredeBram Stoker pour s’attacher plus particulièrement à la figure de la femme. Elle se concentre sur le personnage de Lucy et son combat contre son démon intérieur incarné par Dracula, qui représente la domination, la dépendance, l’addiction à une force destructrice. Une métaphore de l’emprise, à la fois forcée et voulue, séductrice et trompeuse.
Le spectateur embarque dans un voyage intime et psychique, dans cet univers fantasmagorique que Lucy s’est construit et contre lequel elle se bat. Poussés par des forces extérieures et intérieures, le chœur de 5 comédiens-marionnettistes brouille la frontière entre la vie et la mort, devenant morts- vivants lorsque les marionnettes se révèlent plus vivantes que le commun des mortels.
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